3 débuts d’histoire mortels pour captiver son lecteur
Comment commencer un roman ? Comment retenir le lecteur dès la première page ou le premier chapitre ? Tout simplement en inventant un début d’histoire mortel !
1. La morte à la première page
Comme Delphine De Vigan dans son livre Rien ne s’oppose à la nuit, vous pouvez raconter la découverte d’un corps, au milieu d’un salon, dans une piscine ou peu importe. De suite la curiosité du lecteur est piqué : est-elle morte naturellement ou quelqu’un l’a tué ? Qui ? Pourquoi ? Comment ? Qui est cette personne allongée dans une marre de son propre sang ? Si tu lis le premier chapitre de mon livre (sous le pseudonyme de Tristana Erato) : Les gens c’est pire que des personnes, tu verras que j’utilise ce même procédé.
2. Le mort en sursit
Vous pouvez faire un flashback. C’est-à-dire partir de quelqu’un qui est en train de mourir à la première page et raconter ce qui l’a fait arriver là. Le lecteur se demandera pourquoi il en est arrivé là, et prendra le personnage en pitié. La fin admise est qu’un fait vient tout changer et que le personnage vive. Un poison dont on trouve finalement un remède. Un héros qui vient le sauver d’une fin tragique.
3. Le mort qui revient
Votre personnage principale meurt… Et revient hanter ceux qui l’ont blessé tout au long de sa vie, ou son tueur par exemple. Tu peux aussi choisir d’aller dans le fantastique en employant le vampire, le zombie, le fantôme…
Si le premier chapitre se termine par la mort du personnage principale, le lecteur sera subitement piqué dans sa curiosité. L’un sera choqué, l’autre voudra absolument savoir la suite, et au final tous liront l’histoire dans le but de découvrir pourquoi. C’est très simple, que fais-tu à la bibliothèque ? Tu lis la première page pour voir si tu aimes le style d’écriture. Et sur Amazon, pour acheter un livre numérique ? Tu peux feuilleter également le premier chapitre. C’est donc a ce moment là qu’il faut captiver ton lecteur, l’absorber dans ton imaginaire.