Mon grand-père veut se faire piquer

Malgré la laisse de dix kilométres “consédée” par l’Etat, j’ai été voir mes grands parents ce dimanche 21 mars 2021. Car personne ne m’empêchera de voir ceux que j’aime. Et puis c’est tout. Et j’aime mes grands-parents. Mon grand-père a 85 ans, son plus grand plaisir est d’aller en camping car avec ma grand-mère dans toute l’Europe. Traverser les pays de l’Est, aller jusqu’au Pôle Nord ou visiter les pays au Sud. Ils adorent voyager. Et comme le gouverne-ment fait du chantage au passeport COVID… Comme il n’a pas pû voyager pendant un an… Comme il a 85 ans et veut profiter de la vie… Et bien il a dit d’accord pour le vaccin.

Papy, tu as fait l’armée

Alors je ne me suis pas énervée. Chacun son choix. Je peux comprendre qu’il veuille profiter de la vie et tant pis pour ce qu’il lui injecte. Du coup, je lui ai posé deux questions toutes bêtes. “Papy, toi qui a fait l’armée, si on est en pandémie, qui vaccine ?” Et du tac au tac, il m’a répondu “Ah, bah c’est l’armée. Les militaires directement.” Donc ce n’est pas une pandémie. On est d’accord. Pas besoin de s’éterniser là-dessus. J’ai posé une autre question : “Et vous vous soignez avec quoi à l’armée ?” Et idem, réponse immédiate : “Ah bah, on avait de la la Chloroquine.” J’ai donc expliqué que l’état l’avait interdit, et préconisait juste du doliprane. Pour une grippe qui s’attaque aux poumons. Surtout ne pas se soigner en fait… Mais bon, je ne suis pas médecin.

Je n’ai pas été beaucoup plus loin dans mes explications. J’espère juste qu’il va cheminer et y réfléchir.

Le choix de chacun

Tout le monde fait son choix. Je ne peux pas aller contre son choix. J’aime mon grand-père, c’est tout. Et cela me ramène a une réalité : si l’on ne peut pas aller au restaurant, pas aller au cinéma, et bientôt plus aller travailler… C’est logique : tout le monde va accepter le chantage. A moins d’avoir assez d’argent pour ne pas avoir a travailler et avoir une personne pour faire ses courses… Bien sûr, on me répondra toujours que nous ne sommes pas en dictature. Mais pour moi, ce ne va plus vraiment être un choix. Tu as le choix de partir de France, aussi. On ira en Suède ou un autre pays… Ah, et bien non en fait. Puisque pour sortir du territoire il faut une pastille sur ton passeport. Donc quels sont les choix ? Dites moi, quels sont les choix ?
Mon grand-père a une passion : le voyage. Son choix est fait comme cela. Les gens vont accepter. De plus en plus, tout autour de nous. Il faudra tenir. Et c’est à cela que je pense, le premier a plonger dans le piège est mon grand-père, mais ce ne sera pas le dernier. Alors pensons communication non violente. Respirons.

Imaginer demain

Il faut s’ancrer un maximum. Il faut être centré. Vivre la vie au présent sans s’inquiéter du futur. Mais on ne peut s’empêcher de se poser la question : Et si ça continue comme ça ? Mon grand-père me raconte qu’à La Poste, il faut un test PCR négatif pour venir travailler. Je n’accepte ni coton tige ni produit dans mon corps. C’est mon droit, or je ne pourrais peut-être bientôt plus travailler de ce fait. Et j’ai l’impression que cela va arriver plus vite que prévu. Alors qu’à cela ne tienne, ne baissons pas nos énergies ! Voyons plus loin, voyons plus beau, voyons mieux ! Quand j’ai exposé à mes grands-parents le fait que nous devrions peut-être imaginer une autre vie et donc déménager du Nord parce que nous refusons d’être piqué… Nous n’avons eu aucune réaction, peut-être tout juste du dépit. Parce que oui, c’est une réalité. Beaucoup nous traitait de fous avant… Or aujourd’hui cela devient réalité.

Vivre en communauté d’amour

Puisqu’il faudra être espacés, ne plus s’embrasser, ne plus se toucher… Je propose une autre communauté, une communauté d’amour. Si tu es pour le fait de vivre, d’aimer, alors peut-être pourrions nous faire partie d’une communauté. Celle de l’amour. Si nous perdons nos travails et la possibilité de sortir de notre propriété, il faut voir les choses autrement, tout simplement. Alors il faut un grand terrain, pour accueillir du monde. J’aimerai produire uen grande partie de ma nourriture, j’aimerai apprendre aux autres le jardinage et l’écriture. J’aimerai continuer à écrire des articles. Il faudra gagner un peu d’argent pour les impôts etc. Mais être le plus économe et autonome possible. Et tendre la main, avoir un morceau de terre pour les autres. Voilà ce dont je rêve aujourd’hui, puisque nous devons nous réinventer.

Et toi qu’en pense tu ? As-tu fait un choix ? Dois tu repenser ta vie ? N’oublie pas : chacun fait son choix, nous ne pouvons pas intervenir. Il faut commencer par se changer soi pour changer le monde. Si nous créons de l’amour en abondance, nous changerons les choses.

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2 Responses

  1. Marie Picot says:

    Bonjour Marine je suis nouvelle ici j’ai d’abord lu ton récit concernant le livre de Sandrine Muller les vies antérieures et le karma puis sur l’énergie invisible et je suis tombée sur cet article.
    Pour ma part je suis infirmière et je refuse ce “vaccin” je refuse le pass “sanitaire”…
    Je suis effarée de la non réaction des gens qu’on empêche les médecins de prescrire de l’hydroxychloroquine … Car devenus “vénéneux” 70 après bref… Encore heureux que certains médecins désobéissent aux ordres et prescrivent de l’azythromycine ou de l’ivermectine ces médicaments sont sans effet indésirable pas comme ces injections…
    On ne peut plus entrer à l’hôpital sans passe pour se faire soigner…. J’ai l’impression d’être dans une fiction… Je suis en reconversion professionnelle et çà me conforte dans mon choix de changement de vie ++
    Si jamais çà t’intéresse dans un autre registre je t’invite à taper “les médicamenteurs” sur YouTube qui est très intéressant çà annonce un peu la couleur sur la puissance de big pharma qui brasse des millards et des milliards d’euros…
    Courage à nous qui sommes traités si souvent de complotistes alors qu’à mon sens on est juste éveillés

    • Marine says:

      Bonjour Marie,
      Merci pour tes commentaires. Je suis heureuse qu’une infirmière réagisse. Je rencontre des aides soignants tous les samedi qui osent dire ce qu’ils voient : “6 lits dans leur service.. On a ajouté 4 lits… Aujourd’hui, ils sont occupés par des AVC et autres pathologies dû à la thérapie.” C’est un propos rapporté. Je ne sais plus comment réveiller les gens, or nous arrivons à un moment crucial : au delà de l’imposer à nombreux corps de métier, ils vont l’imposer aux enfants… Quand le monde va-t-il réagir ? Il reste moins d’un mois !

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