La communication non violente
Tu as surement des contacts, peut-être même des proches, qui vont répondre à tes posts, tes story, des indications… Personnellement, il m’arrive d’attendre avant de répondre. Pour respirer, réfléchir, et revenir plus tard sur la question. Dans le monde réel, tu peux également rencontrer des personnes qui viendront débattre avec forces contre tes idées. La communication non violente est de mise.
La première chose est de bien respirer. D’aérer ton cerveau pour pouvoir bien répondre. On a le droit d’avoir une émotion, de se mettre en colère parce que le sujet nous touche. Mais dans ce cas, il vaut mieux prendre une pause et respirer. Il s’agit d’être zen, de garder son calme face à l’autre. Toujours. Même quand j’ai appris que mon grand-père voulait se faire piquer. Nous sommes face à un virus qui aime la musique alors soyons fort.
La technique du questionnement
Doucement, j’apprends quelques techniques de communication non violente pour lutter contre ma colère.
Nous pouvons utiliser, pour « planter une graine », amener à réfléchir, la technique du questionnement. J’aime beaucoup, dans un cadre professionnel par exemple, utiliser cette technique. Il me semble qu’Eric Remacle parle de questionnement socratique. Quand une affirmation nous choque, par exemple « Il faut que tout le monde se fasse piquer » ou encore « on devrait mettre le masque à la maison », il suffit de répondre : « Pourquoi ? Pour quelle raison ? ». On peut utiliser les chiffres, les faits…
Aujourd’hui après plusieurs mois de masque en tissu nous apprenons que celui-ci ne sert à rien… Donc certains ont mis un masque des mois, pour rien.
Notre sentiment est incontestable
Tu peux utiliser la technique du sentiment incontesté (oui, j’ai décidé de lui donner ce nom). Personne ne peut contrer une phrase qui commence par « Je me sens… » ou « Je suis en colère quand je vois les enfants masqués. » C’est un ressenti, c’est à toi, on ne peut te contredire. Cela amène presque l’autre à se mettre à ta place. Et puis cela te ramène à ta qualité d’être humain. C’est toi. C’est ton vécu.
Aujourd’hui, nous sommes de plus en plus à cran devant les restrictions qui menacent. Il devient urgent de se préparer et de montrer à l’autre que nous sommes humains. Pas des zombies qui se tiennent à deux mètres, sans se sourire à cause du masque, sans sentiment affiché car le masque arrive presque aux yeux… Nous avons des émotions.
OSDB
Je ne suis pas une professionnelle de la communication, je n’ai pas de formation particulière, cependant après avoir vu la vidéo d’Eric Remacle, j’ai découvert la communication non violente. La technique qui revient est l’OSDB : Observation, sentiment, demande, besoin.
Cela reprend ce que nous avons vu auparavant en partie. On part d’une observation : « on parle de piquer tout le monde avant la fin de l’année, or plusieurs problèmes se posent. » On fait part de notre sentiment (incontestable) : « Je suis en colère, je me sens prise au piège et n’accepterai pas cela. » Puis on évoque un besoin : « j’ai besoin de disposer de mon corps, d’être souveraine en mon royaume. Nous avons le choix pour d’autres virus comme la grippe, je trouve cela normal que nous l’ayons ici également. »
A la fin, on fait une demande, simple : « J’aimerai que tu réfléchisses à ce problème. »
D’autres techniques de communication non violente
As-tu d’autres techniques ? Je te recommanderai de ne rien prendre personnellement, comme l’indique un des quatre accords toltèques. Cela peut nous miner, baisser nos vibrations, nous démoraliser. Il vaut mieux couper court. Peu importe, tant que l’on a « planté une graine » et donné notre avis. Si tout le monde se tait, comment faire avancer les choses ? Sois fort, nous sommes beaucoup dans ton cas. Tu es un guerrier, mais un guerrier pacifique !
Si le sujet t’intéresse, je t’invite à lire mes articles : s’affirmer, mes sources d’informations ou encore Espoir. J’ai également écrit une petite nouvelle sur ce thème : Le réveil.